mardi 25 décembre 2018

vu à travers le tube • en ce jour funeste…


La vieille Reine de France a profité d’une courte absence de son fils épousé pour s’afficher avec un homophobe notoire. Le discours sur l’homophobie me fait beaucoup rire, mais ce matin je me mets dans la peau des mœurs actuelles pour mieux assassiner la femme qui représente tout ce que je hais. Je ne sais pas si Campion est homophobe mais je sais ce qu’est la Reine : une femme assoiffée de pouvoir, autoritaire, hautaine, qui joue de rôle d’une cheffe d’Etat alors que, comme son compagnon de fortune, elle n’est qu’une malade psychique dangereuse qui abuse des pouvoirs qu’elle s’est octroyée. Nulle part dans la constitution monarchique il est écrit que la femme du Roi de France – ni la mère, évidemment – a le moindre pouvoir et qu’on doit lui attribuer un budget. Cette illusion des fêtes de Noël, ce double mensonge – homme habillé en rouge qui viole les cheminées, enfant héros né d’une vierge – est sujet à bien des exactions comme ce discours du chef de la secte catholique – secte qui a détruit le monde et qui continue - qui donne encore des leçons alors qu’il ignore la vie, est censé ignorer la copulation et est incapable de s’élever contre l’inceste qui ronge les entrailles de sa perverse organisation. Si le jour de Noël est un jour funeste, cette année, il portera au moins l’espoir que donnent les Gilets Jaunes en réveillonnant sur les ronds-points.   

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