vendredi 2 novembre 2018

vu à travers le tube • parents et rejetons...



Ce n’est pas que la nuit d’Hallowen ait été perturbée par la violence – elle ne mérite que ça – qui me gène, c’est que les auteurs des faits soient des mineurs et non des moindres, comme par exemple des nourrissons de 10 à 12 ans dans le Gard. Mais qui pourrait en vouloir à ces mignons chérubins, voleurs, violeurs et tueurs en herbe ? J’espère que la police les ont raccompagnés affectueusement chez leurs parents en leur offrant quelques bonbons et qu’ils ont embarqué, sans ménagement, les parents au poste pour une garde à vue prolongée pour leur faire baver et vomir leur inconscience, leur désertion par rapport à leur fonction, en laissant dans la rue leurs pontes, alors qu’elles devraient être au lit à la tombée du jour. Elle est là, la solution pour éradiquer la violence commise par les mineurs – de plus en plus nombreux et de plus en plus jeunes à adhérer à ce mouvement trop cool puisqu’ignoré par les pouvoirs publics - : les parents. Les parents qu’il faut mettre devant leur responsabilité et qui, s’ils ne peuvent ou ne veulent pas se faire soigner et apprendre leur métier, doivent être privés de leurs rejetons en les plaçant dans des maisons spécialisées où ils trouveront l’autorité bienveillante à laquelle ils ont droit. Etre parents c’est un long travail et peu de gens en ont la capacité. 

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