Je n’ai pas regardé Salamé.
Je déteste cette bourgeoise prétentieuse et je déteste encore plus le pseudo écolo
soumis à l’enfant Roi de France qui n’aligne pas deux mots de suite, tant il
est dans la trouille et le déni. Je veux parler de Nicolas Hulot, l’opposé
direct à Monsieur Hulot. Ce n’est que dans mon permanent zapping que je suis
passé sur quelques moments déprimants, heureusement illuminés par la présence
d’Olivier Besancenot qui, une fois encore, a remis tout le monde à sa place
même si ses interlocuteurs étaient trop cons pour s’en apercevoir. Encore une émission de plus de trois heures
sur le service public, au service du Roi, pour ne rien dire, rien du tout.
Demain 400 femmes journalistes
appellent à marcher contre les violences sexistes et sexuelles mais pas contre
les violences dégradantes du Roi de France et de sa cour godillote. Elles
risquent de trouver sur leur chemin les Gilets Jaunes qui se battent contre la
dictature du Roi et contre son acharnement sur les gens qui n’ont pas leurs
caves remplies de lingots d’or. Si ces dames avaient le courage de se battre
contre les politiques de tous bords, en lieu et place de ce combat lamentable
contre les hommes, il y aurait peut-être un jour une égalité sociale, une
égalité culturelle, une égalité dans la connaissance et le savoir et cela
changerait radicalement les rapports humains. Si des hommes et des femmes
harcèlent et violent, c’est que la société les a laissés au bord du chemin.
C’est pourquoi leur haine doit s’adresser au Roi de France et à ses
prédécesseurs, et non pas à des individus qui n’ont rien demandé. S’ils sont
là, c’est qu’on les y a mis. Et c’est – pur hasard bien entendu – la femme qui
les a éjectés de ce lieu où ils étaient si bien, si heureux et si
tranquilles. Et s'ils étaient dans ce lieu de rêve, c'est bien aussi parce qu'elles ont accepté que quelqu'un les y mette.
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