La France régresse encore un peu plus.
La police entre au collège et l’armée entre à l’école élémentaire. D’un côté un
proviseur adjoint policier, de l’autre un uniforme militaire pour les plus
petits. Scandaleuse démission de la pensée humaine. Et tout ça pourquoi – à
part trouver encore des voix pour les élections manipulées - ? Tout ça
parce que les parents pondent des enfants sans aucune justification et ne
savent pas qu’en, que, quoi, faire lorsqu’ils sont devant leur nez. Si l’
enfant était guidé sur le chemin de la vérité et de la lumière dès leur
douloureuse éjection - leur rejet – du corps de celle qui l’a fabriqué, l’école
serait le lieu de l’apprentissage et non de la discipline. Prendre en charge un
enfant, c’est un métier. Et les parents qui sont allés à l’école se comptent
sur les doigts d’une seule main.
Dans une île mafieuse abandonnée, les
gens – ce qu’il en reste – ont voté à 56% pour l’enfant Roi de France. Ils
veulent rester sous sa dictature. C’est leur problème et je m’en fous comme de
mes toutes premières chaussettes trouées. Mais ce qui m’inquiète, c’est que je
me demande ce qu’on va faire des 44% d’hommes et de femmes qui voulaient leur
liberté. Ils ne comptent donc pas ? C’est bien ça le problème de
l’élection. Elle applique la néfaste règle qui veut que les minorités soient
mises hors du chemin. Et dire que, à ce jour, personne ne veut – n’a le courage
- inventer la démocratie, l’horizontal et l’égalité !
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