Caroline
est la jeune et troisième épouse de Gérard Collomb le futur ex-maire de Lyon.
Et comme dans l’immense majorité des couples, c’est elle qui tire des ficelles.
Elle est une femme. Elle est caractérielle. Elle est susceptible. Elle est
colérique. Elle est autoritaire. Elle est toxique, vindicative et brutale.
Entre elle est son mari, il n’y a plus de discussions mais que du chantage. Et
le vieux Collomb cède, uniquement – il l’a dit – parce que, à 71 ans, il ne lui
sera pas facile de retrouver une jeunette qui lui donnera l’impression de
retrouver son adolescence. Si j’évoque cette affaire, c’est parce que tout
d’abord, je l’ai lue ce matin dans lexpress.fr et ensuite parce que cela me
permet d’enrichir ma réflexion sur le rapport entre « les porcs et les
truies », expression créée par l’association des femmes qui ne peuvent
supporter que les hommes s’expriment et qui préfèrent les envoyer au cimetière
plutôt que de céder au désir de leur zizi. Hier j’ai évoqué l’inadmissible
comportement des musulmans par rapport aux règles de notre société -
comportement facile à constater au sein de l’école – et j’y vois un lien très
fort avec l’évolution négative des pensées. Je n’y suis pour rien si le Dieu des
musulmans a décrété que la femme doit porter un voile et doit marcher derrière
son mari. Je n’y suis pour rien si le Dieu des chrétiens à fabriquer la
femme en partant d’une côte de l’homme en en faisant ainsi sa propriété. Je n’y
suis vraiment pour rien, parce que, moi, je sais que Dieu n’existe pas et que
donc il n’a pas pu faire cela. C’est la pensée de l’homme qui a inventé Dieu.
C’est la pensée de l’homme qui a inventé le port du voile, la marche derrière, la
femme issue de la côte. Mais, comme cette affaire bizarre - qui pose mille
questions – entre la poule et l’œuf, mille autres questions se posent entre
l’homme et la femme dont la primordiale est de savoir qui est venu en
premier. C’est la femme qui pond l’homme. Il a donc bien fallu qu’il attende qu’il
y ait une femme pour prendre vie. C’est donc la pensée de la femme qui aurait
inventé tous ces fantasmes ridicules que l’on impute à l’homme. Et c’est sans
doute pour cela, que, ayant été la créatrice du monde – et elle l’est toujours,
dans la continuité ( pour un temps encore) -, elle s’est métamorphosée en un
transfert de substitutions desquelles elle ne peut plus se détacher. L’écriture de
la bible est la transcription farfelue de contes racontés et transmis d’hommes
à hommes. Et ce gros mensonge de plus – c’est la femme qui est à l’origine du
monde, Courbet l’a prouvé – ne peut qu’attiser la haine que la femme a
naturellement pour l’homme.
Bref,
femmes ou hommes, ou hommes ou femmes, il faut savoir choisir. Soit on voit la
réalité en face en soignant le traumatisme – Freud en est le grand spécialiste
-, soit on fait semblant de ne pas voir et la situation ne fera qu’empirer et
tout le monde en ressortira perdant. Quant à ceux qui ne voient pas, ils ne
savent pas qu’ils sont morts depuis longtemps. Et pourtant ils persistent,
toujours et encore, à croire qu’ils sont, alors qu’ils ne sont pas. Être est un
acte réfléchi ! Encore une histoire de miroir…
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