mercredi 10 octobre 2018

vu à travers le tube • femmes et hommes ou être ou pas…


Caroline est la jeune et troisième épouse de Gérard Collomb le futur ex-maire de Lyon. Et comme dans l’immense majorité des couples, c’est elle qui tire des ficelles. Elle est une femme. Elle est caractérielle. Elle est susceptible. Elle est colérique. Elle est autoritaire. Elle est toxique, vindicative et brutale. Entre elle est son mari, il n’y a plus de discussions mais que du chantage. Et le vieux Collomb cède, uniquement – il l’a dit – parce que, à 71 ans, il ne lui sera pas facile de retrouver une jeunette qui lui donnera l’impression de retrouver son adolescence. Si j’évoque cette affaire, c’est parce que tout d’abord, je l’ai lue ce matin dans lexpress.fr et ensuite parce que cela me permet d’enrichir ma réflexion sur le rapport entre « les porcs et les truies », expression créée par l’association des femmes qui ne peuvent supporter que les hommes s’expriment et qui préfèrent les envoyer au cimetière plutôt que de céder au désir de leur zizi. Hier j’ai évoqué l’inadmissible comportement des musulmans par rapport aux règles de notre société - comportement facile à constater au sein de l’école – et j’y vois un lien très fort avec l’évolution négative des pensées. Je n’y suis pour rien si le Dieu des musulmans a décrété que la femme doit porter un voile et doit marcher derrière son mari. Je n’y suis pour rien si le Dieu des chrétiens à fabriquer la femme en partant d’une côte de l’homme en en faisant ainsi sa propriété. Je n’y suis vraiment pour rien, parce que, moi, je sais que Dieu n’existe pas et que donc il n’a pas pu faire cela. C’est la pensée de l’homme qui a inventé Dieu. C’est la pensée de l’homme qui a inventé le port du voile, la marche derrière, la femme issue de la côte. Mais, comme cette affaire bizarre - qui pose mille questions – entre la poule et l’œuf, mille autres questions se posent entre l’homme et la femme dont la primordiale est de savoir qui est venu en premier. C’est la femme qui pond l’homme. Il a donc bien fallu qu’il attende qu’il y ait une femme pour prendre vie. C’est donc la pensée de la femme qui aurait inventé tous ces fantasmes ridicules que l’on impute à l’homme. Et c’est sans doute pour cela, que, ayant été la créatrice du monde – et elle l’est toujours, dans la continuité ( pour un temps encore) -, elle s’est métamorphosée en un transfert de substitutions desquelles elle ne peut plus se détacher. L’écriture de la bible est la transcription farfelue de contes racontés et transmis d’hommes à hommes. Et ce gros mensonge de plus – c’est la femme qui est à l’origine du monde, Courbet l’a prouvé – ne peut qu’attiser la haine que la femme a naturellement pour l’homme.

Bref, femmes ou hommes, ou hommes ou femmes, il faut savoir choisir. Soit on voit la réalité en face en soignant le traumatisme – Freud en est le grand spécialiste -, soit on fait semblant de ne pas voir et la situation ne fera qu’empirer et tout le monde en ressortira perdant. Quant à ceux qui ne voient pas, ils ne savent pas qu’ils sont morts depuis longtemps. Et pourtant ils persistent, toujours et encore, à croire qu’ils sont, alors qu’ils ne sont pas. Être est un acte réfléchi ! Encore une histoire de miroir…  

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