Fear :
Trump in the White House (Peur : Trump à
la Maison blanche) est un livre écrit par le journaliste d'investigation Bob
Woodward sur le Roi des Etats Unis, élu – comme on dit – démocratiquement –
comme on dit aussi. Mais ce ne sont que des « on dit ». Ce malade,
car le bonhomme est bien malade – pas plus que l’enfant qui fait office de Roi
de France et qui lui aussi a été élu « comme on dit » - et que comme
tout malade de cette espèce, il doit consulter un psy, faire une analyse et sans
doute même être interné. Les peuples persistent à vouloir des Rois. Les peuples
persistent à vouloir être humiliés. Ils sont servis et bien servis sur toute la
surface de la planète. Et si les peuples ne cessent leurs divagations, c’est
qu’ils n’ont pas la force de se prendre en main et d’inventer la démocratie.
Eux aussi doivent se soigner, consulter, voir un psy, entreprendre une analyse
et pourquoi pas… être internés !
Ce matin un autre sujet de me tient à
cœur : le godillot de ces dames – les vierges et les frustrées -, le
roucouleur des nuits de pleine lune, le charmeur des naïves ignorantes, le
mauvais imitateur du grand Mariano et de l’excellent Tino Rossi, le pitre des
ténors d’opéra, le plus mauvais artiste lyrique que je connaisse, le populiste
Roberto Alagna. Il va chanter Samson à l’Opéra de Paris – qui n’est pas une
référence – et déjà les donzelles excitées qui tombent en avance en pamoison
croyant tomber dans les bras du séducteur démodé, étalent leurs sentiments
outrageux sur Facebook. J’ai commenté leurs commentaires sans complaisance et
je suis entrain de me faire assassiner. J’ai droit à toutes les insultes, des
plus gauloises aux plus crades, dans un vocabulaire rabelaisien que jamais
Rabelais n’aurait osé employer. Je veux leur dire ici qu’Alagna ne vaut pas un
pet de lapin et qu’elle, je les emmerde... profondément !
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