Et l’affabulateur disait que l’Education nationale serait la
priorité de son mandat. L’affabulateur, maître exemplaire en la matière, le Roi
de France, l’enfant immature pourri est désagrégé par la conjonction de son
cercle et de sa vieille maman qu’il a épousée, est encore et encore à côté de
ses pompes cirées cent fois par jour par ses godillots et godillotes au cerveau
altéré. La première des réformes – puisque l’on réforme à tout va sans jamais
avoir exploité l’original – à l’école, c’était – et c’est primordial –
d’interdire les devoirs et leçons à la maison, de la crèche à la 3e.
Ceci mettrait tous les enfants et ados sur un pied d’égalité. Ils n’ont pas
tous à leur disposition un papa ou une maman ou un bonne à tout faire à leur
disposition après les cours. Seuls quelques privilégiés s’en sortent parce
qu’ils sont aidés – les surdoués qui n’ont besoin de personnes sont une denrée
rarissime -. Il faut donc organiser une permanence en fin de cours où chacun
pourra faire son travail pour le lendemain sous le contrôle et avec l’aide d’un
enseignant. Et pour cela, et pour la santé mentale de l’enfant, il faut que
l’école, quelque soit le niveau, ait lieu de 8h30 à 15h avec les interruptions nécessaires
au sein de l’établissement pour le repas, la distraction, le repos et adopter le créneau 15h-17h pour le travail complémentaire sous
l’autorité d’un enseignant. Cela, outre la santé de l’enfant, éviterait tous
les drames familiaux que l’on connaît en raison de ce travail contraignant à la
maison.
Le Roi est un dictateur qui ne sait rien, qui ne connaît
aucun des problèmes de la vie, qui lui-même n’a vécu et ne vit que dans le rêve
de ses richesses pourries. Chez Wagner, l’anneau est retourné au Rhin. Chez
Lynch, il est retourné dans la Black Lodge. On ne détruit jamais sans le retour
de bâton. L’enfant Roi de France périra par son ignorance et par son arrogance.
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